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Caractéristiques:

Longueur de la coque 6,70 m Poids en ordre de marche 1665 kg
Longueur de la flottaison 6,33 m Poids du lest (fonte) 350 kg
Bau maximum (largeur) 2,50 m Poids de la dérive (polyester) 35 kg
Bau à la flottaison 2,08 m Hauteur sous barrots 1,39 m
Franc bord avant 0,80 m Catégorie de navigation 3 ème
Franc bord milieu 0,70 m Jauge en douane 3,8 tonneaux
Tirant d'eau minimum (dérive haute) 0,38 m Surface maximum du génois 14,29 m2
Tirant d'eau maximum (dérive basse) 1,32 m Surface de la grand-voile 13,81 m2
Tirant d'air 10,15 m     

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Documentation d'époque:

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Essai BateauxOnline:

Présentation : introduction

Le Dufour T7 apparaît en 1980, conçu par Jean-Louis Noir. Cet architecte quelque peu iconoclaste, et fervent adepte du dériveur intégral, se révéla dans la Micro Cup 1977 avec son prototype Nuits-Blanches. Quelques années plus tard, on retrouve sur le T7 certaines idées appliquées alors. L'idée directrice du projet était celle d'un croiseur transportable, pouvant être mâté sans moyen lourd, dont l'échouage serait une manoeuvre courante, et l'habitabilité optimisée par le capotage de la totalité du cockpit. Ainsi, la pratique du camping côtier ferait fi des ports, des grues, et des frais qui vont avec. 250 personnes adhérèrent à cette vision bucolique de la plaisance qui malheureusement sombra, alors que le chantier créé par Michel Dufour connaissait des heures difficiles. Il faut dire aussi que la lenteur à mettre au point le système de dérive auto-orientable n'arrangea pas les choses.

Pourtant, aujourd'hui encore, ce petit dériveur intégral de moins de 7 m, à cockpit central, est présent dans les ports d'échouage, où on peut l'identifier grâce à sa cabine arrière. Voilier sans grande complication, manoeuvrable en équipage réduit ou en solitaire, il apparaît comme un bateau multi-usages, pour lequel les performances pures passent au second plan.

Durant les deux années de production, le Dufour T7 a évolué. Les premiers modèles disposaient d'une dérive pivotante classique, les derniers sortis ayant la dérive auto-orientable voulue par l'architecte. Le comportement des deux bateaux au près est totalement différent. Il ne faut pas hésiter à préférer la seconde option.

Dans un premier temps, la surface d'échouage était protégée par une tôle d'Inox. Elle fut remplacée par une plaque de polyester à témoin d'usure (un gel-coat de couleur rouge à mi-épaisseur). Le safran a été également l'objet de modifications. Ces balbutiements expliquent sans doute pourquoi les esprits n'ont pas été marqués par ce modèle.

Cependant, Il ne faut pas être trop sévère, car le Dufour T7 satisfait toujours les propriétaires, en tout cas ceux qui ne vont pas chercher midi à quatorze heures.

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